Mais c’est aussi la chaleur et l’authenticité des habitants, les rimes de Desjardins, porteur de nos voix. C’est l’espoir de créer l’Histoire, de créer du beau pour ce jeune pays où tout peut encore être fait.
J’ai compris que si j’ai toujours été consciente de t’appartenir, l’inverse n’est pas vrai. Tu ne m’appartiens pas.
Je m’intéresse beaucoup aux gens qui quittent un lieu. Montréal ou l’Abitibi. À mon sens on devrait tous leur accorder un moment pour s’exprimer par rapport à leur expérience dans ce lieu. Qu’est-ce qui n’a pas marché? Entrevue avec Joël…