J’adore mon métier. Je vis à Montréal depuis belle lurette, expatriée de ma campagne abitibienne depuis plus longtemps encore. J’adore mon métier parce qu’à chaque jour que j’ai le privilège de faire ce que j’aime, je retourne chez-moi dans cet état…
J’étais heureuse avant, je serai heureuse plus tard. ailleurs, aussi. J’ai l’espace temps vagabond, instable, impatient « je me sens chez moi » n’a jamais fait partie de mon vocabulaire. Aujourd’hui, j’habite à 3 min de l’endroit où je suis…