Mais surtout, je veux créer. Matérialiser toutes ces idées naissantes. Laisser ma trace. Rien de plus beau qu’extérioriser une partie de soi pour l’offrir au monde en partage. Cultiver ce plaisir ardent. Devenir ma priorité.
Si j’étais à Montréal, j’pourrais m’perdre dans la masse jusqu’à temps de m’sentir assez p’tite pour m’effacer d’la vie un ti boutte. J’pourrais changer d’quartier, changer d’bar, changer d’épicerie, voir même changer de vie…